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Dépistage électrodermal informatisé (EDS) ou Électro-acupuncture selon Voll (EAV)

Si vous ne pouvez pas faire des choses extraordinaires, faites des choses simples d’une manière extraordinaire

Napoleon Hill

Lumière

Au milieu du 20e siècle, des médecins allemands dirigés par le Dr Reinhold Voll ont découvert que la résistance électrique de la peau est plus faible en des points spécifiques d’acupuncture comparativement à la peau environnante. Ce qui indique que les courants électriques fondamentaux du corps sont conduits plus efficacement aux points d’acupuncture. Le Dr Voll et ses associés ont aussi constaté que chacun des points d’acupuncture est doté d’une mesure standard et que celle-ci reflète les changements survenant chez une personne lorsque sa santé se détériore. Le Dr William Tiller (Université Stanford de Palo-Alto, en Californie) a appelé ces points d’acupuncture ou points de conduction des fenêtres d’accès à l’information.

Le Dr Voll et ses collègues ont découvert que ces fenêtres, ou acupoints, correspondent à des régions anatomiques spécifiques de divers organes. En d’autres termes, les points sur le méridien du gros intestin correspondent à diverses parties du gros intestin, alors que divers points sur le méridien des articulations correspondent à des articulations et des jointures spécifiques. À l’aide du dépistage électrodermal informatisé (CDS) – une lecture électrique en un point d’acupuncture spécifique


qui correspond à une représentation anatomique précise d’un organe, d’une glande ou d’un tissu – Voll était capable de détecter un déséquilibre électrique ou énergétique du fonctionnement de base du corps, ce qui alertait le thérapeute par rapport à des problèmes de santé potentiels futurs bien avant que ceux-ci apparaissent.

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En 1985, des chercheurs de l’USC et de l’UCLA ont démontré une corrélation de 87 % entre des lectures de CDS/EAV du méridien des poumons et des résultats de rayons X de patients atteints du cancer du poumon dans une étude en double aveugle.
 

De façon similaire, des chercheurs de l’Université d’Hawaï ont comparé une population de diabétiques avec un groupe de contrôle et ont démontré une similarité de 95 % à 97,5 % entre les lectures de CDS/EAV et le groupe de diabétiques dont la maladie a été confirmée de la manière conventionnelle. En conséquence, la capacité de détecter des signaux provenant des organes internes aux points d’acupuncture a constitué un grand pas dans la prévention de la progression de plusieurs maladies dégénératives.

Thérapie par micro-courants

Thérapie par micro-courants

Le but de la thérapie par micro-courants (acuscope et myopulse) est de ramener l’homéostasie (balance, harmonie et équilibre) dans les tissus, les organes et les glandes en rééquilibrant les champs d’énergie électromagnétique et les dynamiques énergétiques de ces tissus humains.


Le concept des micro-courants remonte aux travaux d’Albert Szent-Gyorgi, lauréat du prix Nobel en 1937 pour sa découverte de la vitamine C, ainsi que des composantes et réactions du cycle de Krebs, responsables de la conversion du glucose en énergie par les mitochondries des cellules.

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En 1941, dans son article intitulé Towards a New Biochemistry (Vers une nouvelle biochimie), M. Gyorgi a suggéré que l’énergie dans les systèmes vivants pouvait être transmise par des bandes de conduction, postulant que la structure moléculaire de plusieurs parties de la cellule pouvait être propice à une semi-conductance. Il a suggéré que le courant d’électrons serait similaire à la photosynthèse, dans laquelle une chute d’électrons tombe en cascade, étape par étape, en descendant un escalier de molécules et perdant de l’énergie à chaque bond. Cependant, dans la semi-conductance des protéines, cette énergie serait conservée au lieu d’être perdue, puis transférée en guise d’information au lieu d’être absorbée et emmagasinée.

En 1942, D.D. Eley a démontré que les électrons se comportent comme des semi-conducteurs et qu’il y a un transfert de charge des électrons vers les orbites vides de l’atome

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​En 1955, Robert O Becker, chirurgien orthopédique et deux fois candidat au prix Nobel, a avancé dans son livre The Body Electric (Le corps électrique) que le corps possède un système d’information analogique étroitement associé aux nerfs, mais non présent dans les nerfs eux-mêmes, et que ce système analogique utilise le courant continu (D.C.) pour réguler la croissance, la guérison et les autres processus essentiels au maintien de la santé. M. Becker a découvert qu’au niveau de la simple cellule des éléments microcristallins de même que d’autres sous-éléments cellulaires sont impliqués dans la modulation de courants électriques d’une façon similaire à un circuit de semi-conduction et qu’ils agissent aussi comme des condensateurs électriques. M. Becker a postulé que c’était ce système électrique analogique semi-conducteur qui permettait à certains amphibiens comme les salamandres de régénérer leurs membres et leur cerveau, de même que leur moelle épinière, à l’aide de micro-courants de l’ordre des nano-ampères (millionièmes d’ampère). 

En utilisant des micro-courants similaires, M. Becker a réussi à nettoyer des plaies gravement infectées en plusieurs jours, là où des antibiotiques avaient failli complètement à la tâche.

La plus incroyable découverte de M. Becker est que, lorsqu’un courant continu analogique de l’ordre du micro-ampère est appliqué correctement, des cellules matures sont capables de revenir à leur état de cellules-souches embryogènes puis de se différencier de nouveau pour devenir n’importe lesquelles des cellules qui sont nécessaires pour permettre la régénération des tissus.

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En 1983, le Dr Bjorn Nordensrom, chef du service de radiologie diagnostique de l’Institute Karolinska de Stockholm, en Suède, et membre siégeant au comité du prix Nobel, a proposé que la bioélectricité pouvait être conduite par l’entremise d’un système invisible de micro-capillaires. Le Dr Nordenstrom croyait que ces circuits bioélectriques faisaient partie d’un système de circulation électromagnétique pas encore découvert (les méridiens d’acupuncture des Chinois ou les nadis des Indiens), et que des perturbations de ce réseau bioélectrique étaient probablement impliquées dans le développement des maladies.

L’électro-acuscope et l’électro-myopulse

En 1974, le fabricant de l’électro-acuscope et de l’électro-myopulse, « Bio-Medical Design-Systems », a commencé à développer une grande variété de dispositifs de stimulation neuromusculaire non effractifs, innovateurs et de grande qualité, comprenant des électroencéphalogrammes (EEG) et des électromyogrammes (EMG) médicaux, de même que l’acuscope et le myopulse, qui sont tous deux des dispositifs de micro-courants intelligents, approuvés par la F.D.A., qui offrent aux patients les avantages suivants : 

  1. Soulagement de la douleur

  2. Soulagement d’un dysfonctionnement musculaire

  3. Réparation d’un problème de tissu conjonctif

  4. Rééducation musculaire

  5. Soulagement des spasmes musculaires

  6. Amélioration de la circulation dans des tissus endommagés ou en mauvaise santé

  7. Élimination de l’acide lactique et des autres déchets métaboliques des tissus cellulaires

  8. Accélération des processus de guérison et de régénération des tissus en normalisant la résistance électrique anormale dans les tissus affectés

  9. Amélioration de la circulation lymphatique et de l’enlèvement des produits résiduaires, accentuant ainsi le pouvoir inné de guérison du corps

  10. Accélération de la guérison et de la régénération

Art fractale

Ces instruments sont sécuritaires et sans effets secondaires et ils ont été utilisés pour traiter des blessures en médecine de réadaptation, par des équipes d’athlètes professionnels, dans des pratiques de médecine sportive et des hôpitaux, sans mentionner les milliers de médecins et thérapeutes qui les utilisent également, dans tous les domaines de la médecine. Plusieurs gagnants de médailles d’or, lors de divers Jeux olympiques, dont notamment les Jeux de 1984 à Los Angeles, attribuent les performances qui les ont menés à des médailles d’or à l’électro-acuscope et à l’électro-myopulse.

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